mardi 16 avril 2013

Moncef Marzouki est le fils d'un goumier, d'un traître

"Qu'est-ce qu'un traître? Un homme qui vend , pour un peu d'or, sa propre estime, celle de ses concitoyens, celle de l'homme qui l'emploie. " Pensées et maximes [ de Malesherbes ]

Introduction

Médaillon du goumier
Les goumiers étaient des soldats maghrébins de l'armée française, spécialisés dans la répression brutale des autres Maghrébins : tortures, viols, assassinats, etc. toutes "activités salissantes » pour les soldats français. Ils étaient cent fois pires que les harkis de triste réputation. Ils avaient une tenue spéciale franco-maghrébine, et on les reconnaissait de loin. Quand on les voyait, on se précipitait pour aller vite se cacher, car ils n'avaient besoin d'aucun prétexte pour agir : défoncer les portes de maisons, violer femmes, filles, et parfois les hommes, voler ce qu'ils voulaient, et repartaient hilares (voir la devise sur leur médaillon ci-contre). Le père de Moncef Marzouki, président provisoire de la Tunisie était un goumier. Il n'aurait été ni nationaliste ni yousséfiste, comme le prétend Moncef, mais un traître au service du colonialisme français.
Ceux qui, gamins comme moi, ont connu ces goumiers, ne peuvent que revivre les pires cauchemars. Aujourd'hui, toute honte bue, les Français refusent d'en parler, tellement ils étaient atroces et leur conduite dégradante. Tous les goumiers étaient des volontaires. La plupart étaient des Marocains, dressés spécialement pour "casser" de l'Algérien et du Tunisien, mais il y avait aussi des goumiers Tunisiens et Algériens.

Tel père tel fils ?

Après les indépendances,  le Maroc a été le seul pays à ne pas les poursuivre en justice pour trahison, et en a intégré un certain nombre dans l’armée royale. Il a même accordé la nationalité marocaine à des Tunisiens et des Algériens qui ne voulaient pas retourner dans leur pays de peur d'y être jugés. Ainsi, le papa de Moncef, resta au Maroc où il aurait obtenu la nationalité marocaine, ses enfants aussi. Donc Moncef, notre président,  serait Marocain (tout comme Ghannouchi serait détenteur d'un passeport Soudanais), ce qui est , théoriquement, contraire à notre Constitution. Le jeune Moncef a suivi ses études secondaires à Tanger jusqu’à l’obtention de son baccalauréat au lycée Regnault en 1964. Et pendant qu’il poursuivait ses études de médecine en France, en tant que marocain, sa sœur continua ses études de droit au Maroc, pour devenir avocate au barreau de Casablanca. Lors de sa visite récente au Maroc, Moncef  est allé se recueillir sur la tombe de son père à Marrakech.

Comme son papa goumier, Marocain d’adoption et de cœur, ce pseudo-président déteste aussi bien l’Algérie que la Tunisie. Entre le fils d’un traître et un sous-fifre du Qatar, agent  du MI6 britannique, la Tunisie est en de « bonnes mains », des mains sales.

Les Goumiers « marocains »

Les goumiers étaient des soldats appartenant à des goums, unités d’infanterie légères de l'armée française d'Afrique composées de troupes autochtones maghrébines (Tunisiens, Algériens,  mais surtout Marocains), sous commandement français. Ces unités ont existé de 1908 à 1956. On les appelait goumiers marocains, car l’écrasante majorité de ces soldats étaient des Marocains.

Les goums se sont particulièrement illustrés lors de la Seconde Guerre mondiale, notamment lors de la campagne d'Italie au sein du Corps expéditionnaire français du Maréchal Juin, puis lors des campagnes de France et d'Allemagne. En Italie, l'exploit le plus retentissant des goumiers a lieu en mai 1944 lors de la bataille du Monte Cassino, où ils sont arrivés à battre les Allemands  grâce à leur courage sans limite.

Ils ont été ensuite largement engagés en Indochine de 1948 à 1954, afin de mater, sans succès, l’insurrection vietminh. Ils ont également participé aux répressions des révoltes anti coloniales maghrébines jusqu'en 1956. Ils ont finalement été dissous et intégrés à l'Armée Royale Marocaine au moment de l'indépendance du Maroc, en 1956.

Faits et méfaits de goumiers

Mais ces soldats « sans peur » n'étaient pas sans reproches. C'étaient des satrapes et des « gibiers de potence », des violeurs, des voleurs et des assassins.

Cette vraie histoire de viols débute en Sicile. C'est Mariangela Profeta Fiore, réfugiée à Montegrande (au sud de la route nationale Licata-Gela) qui rapporte des premiers kidnappings de jeunes femmes italiennes par des Goumiers Marocains qui "considéraient ces femmes comme leur butin de guerre. Ils les emmenaient en ricanant et en les traitant de tous les noms, comme des prostituées. » Le deuxième (lourd) épisode on le retrouve à Capizza, entre Nicosia et Troina: ici les goumiers se donnèrent à plusieurs viols collectifs. Mais ce fut pendant l'avancée vers la Ligne Gustav, et ensuite vers la Toscane que les Goumiers se déchaînèrent. Ils violèrent par milliers des fillettes, des vieillardes, des femmes enceintes, sans oublier les hommes ! Ils agissaient en bandes : ceux d'entre eux qui tâchaient de s'y opposer étaient invariablement abattus. Pour les victimes il n'y avait aucun salut : certaines, après pareil traumatisme, se suicidèrent.

Le journaliste Giovanni Minoli, grâce à des témoignages des victimes qui ont survécu, reconstituera un événement que, affirmera-t-il avec raison, «L'histoire officielle n'a jamais voulu raconter » C'est en effet rarissime de trouver dans les livres d'histoire ne fusse qu'une rapide allusion à ces crimes qui ont profondément marqué la libération de l'Italie dans le printemps de 1944 où des milliers de femmes furent violées et tuées avec une fureur inhumaine. L'historien belge Pierre Moreau, pourtant, est sur la même longueur d'onde que Minoli quand il affirme que: « Jamais ces tragiques évènements ne furent mentionnés par la littérature historique de la deuxième guerre mondiale. Il y a, au contraire, des preuves que ces violences ne se limitèrent pas à la population des Arunci, pendant les cinquante heures de prime" offertes par le général Juin à ses troupes, méritoires d'avoir réussi à percer le barrage ennemi au Mont Cassino. Ce « phénomène » débuta en juillet 1943 en Sicile, traversa la région de Rome (le Latium) et la Toscane pour s'achever en octobre 1944. En mai 1944, en cette partie du Latium dénommée Ciociaria, les libérateurs alliés déchaînèrent les troupes marocaines du général Juin, les Goumiers, sur la population locale : 3.500 fillettes, adolescentes et femmes entre 8 et 85 ans furent violées, 800 hommes sodomisés et tués. Parmi eux le père Alberto Terrilli (curé de Santa Maria di Esperia). Selon la source italienne la plus récente, un projet de loi du sénat italien daté de 1996, plus de 2.000 femmes ont été violées (de 11 ans pour la plus jeune, à 86 ans), ainsi que 600 hommes.

En Sicile, les goumiers auraient eu des heurts très sévères avec la population pour cette raison : on parle de quelques soldats qu'on aurait retrouvé tués avec les parties génitales coupées. Avec l'avancée des alliés le long de la péninsule, des événements de ce genre sont aussi rapportés dans le Nord du Latium et le Sud de la Toscane où les goumiers violèrent, et parfois tuèrent, des femmes et des enfants après la retraite des troupes allemandes, sans épargner des membres de la résistance italienne. Ces viols commis par les goumiers, en majorité marocains, ont donné naissance au terme « marocchinate » (littéralement « marocanisés », dans le sens de « violé(e)s par des Marocains »). « Marocchinare » (« marocaniser »), a pris la signification de « violer » dans l'expression populaire italienne.

Les mêmes méfaits se sont répétés lors de la prise de Freudenstadt, en Allemagne, les 16 et 17 avril 1945, quand au moins 600 femmes ont été violées par les troupes françaises, dont une partie de goumiers.

La pacification du Maroc, de l’Algérie, et de la Tunisie

Dien Bien Phu et la fin de la guerre d’Indochine ont un retentissement psychologique et politique considérable au Maghreb. Pourtant, les goumiers, et notamment ceux qui sont rapatriés d’Indochine au Maroc, conservent leur cohésion et leur attachement à l’armée française. Ils vont participer à la répression brutale et inhumaine menée par le colonialisme français contre les révoltes maghrébines dans les trois pays.

La pacification est un terme du vocabulaire militaire et colonial français. La France a souvent utilisé ce mot comme prétexte pour pouvoir légitimer ses interventions militaires coloniales. Il est en effet plus facile pour convaincre l'opinion française et internationale de la nécessité d'entrer en guerre pour de nobles raisons (libérer, protéger, pacifier) plutôt que d'en avouer ouvertement les véritables motifs (intérêts financiers, désirs de conquêtes). Cela nous rappelle les guerres menées récemment contre l’Irak et  la Libye,  et actuellement contre la Syrie, pour « la démocratie » et « contre la tyrannie », alors qu’en réalité, c’est l’odeur nauséabonde du gaz et du pétrole qui les motive.

En particulier, la pacification de l'Algérie française au XIXe et XXe a consisté en la répression des mouvements indépendantistes organisés en guérilla, par les moyens de la guerre non conventionnelle comme l'usage de la torture ou encore des enfumades. Cette dernière technique consiste à asphyxier les personnes réfugiées ou enfermées dans une grotte en allumant devant l'entrée des feux qui consomment l'oxygène disponible et remplissent les cavités de fumée. Des « tribus » entières auraient été ainsi anéanties. Un tiers de la population algérienne aurait été anéanti, c’est ce qu’on appelle un génocide. Comme pour les goumiers, peu de gens en parlent.

En Tunisie, les troubles qui commencent en 1954 ne sont pas étrangers à cette situation. Pour y faire face un tabor tunisien est créé sur le modèle des goums marocain. Le père de Moncef Marzouki s’y engage volontairement. Fin septembre 1954, les 3e, 8e, et 10e Tabors marocains arrivent successivement en Tunisie pour y participer aux opérations de « maintien de l’ordre ». Ils seront rapatriés au Maroc en avril 1956, accompagnés des goumiers tunisiens. Deux d’entre eux, les 8e et 10e, décidément inséparables, participent « aux opérations » en Algérie, essentiellement dans les Aurès, le 8e à partir de janvier 1955, le 10e à partir de mars 1955.

Le rôle complice du commandement français

Bien que l'original n'ait pu être retrouvé, on connaît la traduction d'une feuille volante en français et en arabe qui aurait été distribuée par le commandement français parmi les Goumiers :

 « Soldats ! Cette fois-ci ce n'est pas seulement la liberté de vos pays que je vous offre si vous êtes vainqueurs dans cette bataille. Derrière l'ennemi vous trouverez des femmes, des maisons, un vin parmi les meilleurs du monde, vous trouverez de l'or. C'est tout cela qui sera à vous si vous gagnez. Il vous faudra tuer les Allemands jusqu'au dernier homme et passer quel que soit le prix. Ce que je vous ai dit et promis, je le maintiens. Pendant cinquante heures vous serez les maîtres absolus de ce que vous trouverez derrière les lignes ennemies. Personne ne vous punira pour ce que vous aurez fait, ni ne vous demandera des comptes pour ce que vous aurez pris »

Même si on nie l'existence de cette feuille volante, le consentement du haut-commandement et des officiers, ainsi que le caractère systématique des violences, n'en a pas moins conduit à croire qu'une certaine liberté d'action avait été accordée aux soldats à l'encontre des civils. À ces soldats, en somme, on aurait accordé le droit de se comporter en criminels.

Rappelons aussi que la liberté de vol et de viol sur les villes et villages pris était l'argument majeur des recruteurs Français en Afrique du Nord : ils faisaient miroiter aux candidats goumiers tous les bénéfices des razzias à venir, que l’on croyait disparues depuis les invasions hilaliennes. On leur décrivait les belles femmes italiennes et allemandes, avec forces photos aguichantes à l’appui, pour recruter «cette chair à canons » que sont les Maghrébins. Ceci nous rappelle les recrutements actuels de jeunes djihadistes tunisiens pour aller se faire massacrer en Syrie, avec, à la clé, les mêmes promesses : vol, viol, et , en cas de décès, paradis plein de houris.

Ces Goumiers d'hier ressemblent aux Djihadistes d'aujourd'hui :
le sens immoral, le look et la motivation sont les mêmes

De plus, les goumiers d’hier étaient, comme les djihadistes d’aujourd’hui,  pour la plupart illettrés. C'étaient des montagnards frustres qui étaient encadrés par des officiers français à qui ils obéissaient aveuglément. L'état major français fermait les yeux sur leurs exactions : c'était une forme de récompense pour ces soldats d'élite. Il n’est guère étonnant, pour celui qui n’oublie jamais les faits historiques, que ces exactions (viols, vols, assassinats impunis, etc.) se soient de nouveau répandues aujourd’hui sous le pouvoir islamiste. Ce sont les mêmes méthodes de recrutement et d’endoctrinement qui donnent les mêmes résultats sur le terrain.

La dernière prise d’armes.

Le 3 mars 1956, le Maroc devient indépendant. La Tunisie le devient le 20 mai suivant. De 1908 à 1956 la saga des Goums marocains aura duré 48 ans. Pendant près d’un demi-siècle, l’uniforme des Goumiers, à mi-chemin entre le vêtement traditionnel maghrébin et la tenue de combat moderne, aura été vu, craint et toujours détesté par les populations civiles des tous les pays : Algérie, Tunisie, Indochine, Italie, Allemagne. Et pendant cette longue période de combats quasi ininterrompus, les Goumiers seront restés des fidèles serviteurs du colonialisme contre leurs propres frères de sang. Traîtres à leurs origines, fidèles à leurs chefs français. Tout comme son père, Moncef Marzouki trahit les Tunisiens. Pour une poignée de dollars, il n'obéit qu'au Qatar.

Témoignage vidéo (en arabe) : ici

استمعت منذ اشهر لى شهادة معتمد سابق بدوز ثم اصبح لا حقا واليا على فبلي يقول فيها ان اعيان دوز ذكرو له ان والد المرزوقي وشى الى الشرطة الفرنسية بمفاوم تونسي كان يحمل سلاحا وعندما ارادت قيادة حزب الدستور محاكمته هرب الى المغرب الكوميه أو القوميه هم البوليس والبوليس السياسي الذي نشرته فرانسا في تونس ايام الإحتلال لتصيد المقاومين
والد المرزوقي كان منهم...أما المرزوقي فهو ماسوني مشبوه عينته مدام كورين كومار من رؤوس الماسونية منذ 1998


Moncef Marzouki est marocain de père et de mère



Tunisie-Secret a écrit : "Rappelons que le père de Moncef Marzouki ... n’a pas quitté la Tunisie parce qu’il était youssefiste. En 1956, année de l’indépendance, le conflit entre Bourguiba et Salah Ben Youssef était encore tout à fait à son début et il se limitait à une polémique, par presse et meetings interposés, entre les deux leaders. Il n’y avait pas encore des bourguibistes d’un côté et des youssefistes de l’autre, mais uniquement des destouriens. C’est à partir de 1957 que les bourguibistes et les youssefistes ont commencé à s’affronter de façon violente. Jusqu’en 1957, un youssefiste n’avait pas à craindre pour sa vie. C’est donc pour d’autres raisons que le père de Moncef Marzouki, décédé à Marrakech en 1988, est parti au Maroc en 1956, l’année de l’indépendance de la Tunisie. " 

PHOTO DE FAMILLE

De passage au Maroc (06/08/2015), Moncef Marzouki a présenté sa famille marocaine sur sa page Facebook.
L’ancien président tunisien, qui était à Marrakech pour assister au congrès de la jeunesse du PJD, parti islamiste, tendance DAECH, puis à Rabat où il a donné une conférence, a profité de sa présence dans le royaume pour rendre visite à ses frères, sa sœur et ses neveux près de l’Oued Ourika.
Son père, Mohammed Bédoui Marzouki, tunisien, a été contraint à s’exiler en 1956 au Maroc, où il s’est marié avec une Marocaine, écrit M3 sur sa page.

Nous avons vu, ci-dessus, que le père de Moncef, en fuyant la Tunisie, a obtenu la nationalité marocaine en tant que « bon goumier ». Mais il y a un autre argument qui a facilité son acquisition de la nationalité marocaine : sa première épouse, la mère de Moncef, a toujours été de nationalité marocaine, puis une seconde épouse marocaine.



Or, selon l’article 40 de la Constitution tunisienne version 2009, « Peut se porter candidat à la présidence de la République tous tunisiens jouissant exclusivement de la nationalité tunisienne, de religion musulmane, de père, de mère, de grands pères paternels et maternels tunisiens, demeurés tous de nationalité tunisienne sans discontinuité ». 



Ainsi donc, pour pouvoir accéder à la présidence de la république, la mafia islamiste :
- A délibérément caché au peuple tunisien que le père de Moncef avait acquis la nationalité marocaine 
- A contraint, sous la menace, un juge du tribunal de première instance de Grombalia, a modifier la nationalité de la mère de Marzouki, pour la rendre tunisienne. En effet,  le 6 décembre 2011, le juge H.G. (à ne pas confondre avec Hannibal Genseric !!), dont la réputation de juge corrompu est connue depuis l’ancien régime, a été contraint de modifier la nationalité de cette dame décédée depuis belle lurette. Après avoir fait voter les morts et les absents, voilà maintenant qu’on peut changer la nationalité des morts.  

La Tunisie islamiste fait des miracles :

سبحان من يحيي العظام وهي رميم !!

Hannibal Genséric


Mise à jour 19/11/2014

Un soutien qui en dit long sur les fréquentations et l’évolution du Président tunisien sortant Moncef Marzouki !

Logo de Hizb ut-Tahrir : sur le drapeau noir, flottant, figure la profession de foi islamique ; la même qui figure, mais en abrégé, sur le drapeau, aussi noir, du sinistre Daesch [acronyme de al-Dawla al-Islamiya fi Iraq wa ash-Sham (État Islamique en Irak et au Levant)].

Ridha Belhaj, porte-parole du Parti islamiste Hizb Ettahrir, parti- succursale tunisienne du mouvement panislamiste  Hizb ut-Tahrir, né d'une scission avec la confrérie des Frères musulmans, parti le plus fondamentaliste de la scène politique officielle tunisienne, dont les orientations reposent sur le califat et la Sharia comme constitution*, a déclaré**, lors d’une conférence de presse tenue ce samedi 15 novembre 2014, que son parti soutient la candidature aux élections présidentielles du  Président sortant Moncef mazouki qui « bénéficie d’une bonne marge de popularité » (dixit Ridha Belhaj), sous-entendu, cela va de soi, auprès des fous de Dieu de Hizb Ettahrir !


Voir aussi : 

 Les Bouffons de la Ripou-blique : Marzouki-la-Honte 

L’époque où Moncef Marzouki léchait les bottes de Ben Ali (document) 

MARZOUKI, le super menteur de toujours