mercredi 17 mai 2017

Médias aux abois. Le FBI prouve que les "hackers russes" sont des Américains




Après le limogeage par Trump du directeur du FBI, James Comey, le FBI a uni ses forces avec le président Donald Trump pour contrer ses ennemis du «Deep State», en prouvant de façon concluante que les e-mails d’Hillary Clinton et du Parti Démocrate ont été livrés à  WikiLeaks par Seth Rich, qui faisait partie du Comité National Démocrate, et qui a été assassiné, comme nous l’avions annoncé dans notre article du  mercredi 13 juillet 2016 « USA. Hillary fait encore assassiner un témoin gênant » [1].

En effet, le FBI a publié hier le rapport légal et officiel d'examen de l'ordinateur de Seth Rich, dans lequel on constate que, dans les 96 heures avant son assassinat (vers 04h19 le 10 Juillet 2016), il avait été en contact avec WikiLeaks par l’intermédiaire de Gavin MacFadyen, un journaliste américain qui a siégé au conseil d'administration de WikiLeaks, et qui est, lui aussi, décédé. Cette publication détruit complètement les fausses nouvelles qui prétendent que la Russie a piraté les fichiers d’Hillary Clinton et de son parti démocrate.


SALUT. Je suis SETH RICH. Je faisais partie du staff du Parti Démocrate. C’est bien moi qui ai fourni les emails du Parti Démocrate à Wikileaks, afin de prouver que notre Parti a truqué les élections primaires pour faire battre Bernie Sanders et faire élire Hillary Clinton. Juste après, j’ai été abattu de deux coups de feu dans le dos. La police, paraît-il, continue ses recherches pour retrouver mes assassins, pendant que Hillary Clinton invoque mon nom pour justifier ses appels au contrôle des armes.
Par ailleurs, comme le directeur de campagne d’Hillary Clinton, John Podesta,  avait émis une menace à peine voilée, le 22 Février 2015, en disant qu'il allait « certainement faire un exemple d'un fuiteur présumé, avec ou sans preuves », il ne fallait pas être Sherlock Holmes pour deviner qui sont les commanditaires de l’assassinat de Seth Rich. Comme, de son côté, WikiLeaks  offrait une récompense de 130.000 $ pour la capture de ses assassins,   contribue à renforcer le fait que c’est bien Rich qui a remis à Wikileaks les fichiers soi-disant « hackés par les Russe ».

La raison pour laquelle les assassins de Seth Rich n’ont pas été appréhendés à ce jour, a été révélée par Rod Wheeler, un ancien détective spécialiste des homicides, et un contributeur chez Fox News. La famille de Rich avait chargé le cabinet privé de Wheeler d’enquêter sur cet assassinat. L’enquête  a confirmé que Rich a été abattu par 2 balles tirées dans son dos et qu’il n'a pas été volé. Et Wheeler a déclaré: « Mes investigations montrent que quelqu'un dans le Gouvernement, dans l’équipe du Comité National Démocrate ou dans l’équipe de Clinton bloque l'enquête, et nous empêche d'aller de l'avant. "
Afin de cacher ce complot du directeur Comey,  dans les 57 minutes suivant la publication du FBI prouvant que c’est bien Seth Rich qui a donné à Wikileaks les emails du parti démocrate et d’Hillary,  la grande presse  de propagande mensongère (américaine et européenne) a de nouveau attaqué à boulets rouges le président Trump, l’accusant d’avoir montré à Lavrov des documents classés top secrets , en l’accusant de mettre en danger une soi-disant source essentielle de renseignements ayant trait aux terroristes islamistes de Daech.
 
L'absurdité de cette accusation est manifeste, car il est impossible pour un président américain d’outre passer les lois de son pays sur le secret d’État, sachant qu’il revient justement au président et à lui seul, de décider ce qui est secret d’État et ce qui ne l’est pas. Cette absurde accusation a amené le Kremlin [2] à déclarer: « ceci n'est pas un sujet qui nous concerne; c’est juste un autre non-sens ... nous ne voulons rien à avoir avec ce non-sens ... Pour nous, il n'y a pas lieu de confirmer  ou d’infirmer un pareil non sens ».
Ces récentes attaques médiatiques contre Trump ont pour objectifs :
(a) de garder secret l'assassinat de Seth Rich, et 
(b) de cacher au peuple  que la source de la fuite vers WikiLeaks des e-mails du Parti Démocrate et d’Hillary Clinton n’est pas la Russie, mais un responsable important du Pari Démocrate.
Le nouveau responsable, au sein de l’« État Profond », de ces attaques, n’est autre que le Conseiller de Trump à la Sécurité Nationale, Herbert Raymond “H. R.” McMaster, dont le motif est de rendre impossible son licenciement par  Trump. Ce H.R. a été longtemps en relation avec un groupe obscur d'anciens espions américains, appelé The XX Committee (Le Comité 20), et dont le chef, John Schindler, a promis, le 15 février 2017, d’«aller vers la guerre nucléaire » et d’envoyer Trump crever en prison.
Quant à savoir qui ira « crever en prison », alors que cette guerre du « Deep State » contre le président Trump s’intensifie et se rapproche de son dénouement, on ne le sait pas encore.
Par contre, nous avons l'assurance que si l’« État Profond » gagne, le nombre de morts se comptera en dizaines de millions, comme nous l’avions vu dans notre article intitulé : « Avertissement sino-russe: notre première riposte à une attaque nucléaire causerait la mort de 70 millions de personnes en Occident en 6 heures ».
Rappelons, en passant, que le président Poutine avait dit: « Il y a cinquante ans, les rues de Leningrad m'ont appris une chose: si un combat est inévitable, vous devez frapper le premier. »  

Impitoyable Zakharova: Peut-être que les États-Unis peuvent mettre les pirates russes dans un tube à essai pour montrer comme « preuve »?


Maria Zakharova est allé trop loin cette fois-ci, un coup en dessous de la ceinture !
La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Marie Zakharova est connue pour son esprit vif et zingers (révélations étonnantes) dévastateurs.
Savage.
Rappelez-vous des "preuves" de Colin Powell contre Saddam !
Mais cette fois, elle a franchi la ligne. Cette fois, elle est allée trop loin.
Résultat de recherche d'images pour "maria zakharova"Lors d'une conférence de presse mouvementée vendredi à Moscou, Zakharova a répondu à la récente déclaration du secrétaire américain  de l'État Rex Tillerson qu'il y a des preuves bien connues montrant que « les Russes jouent avec les processus électoraux [US] ».
Maria n'a pas été impressionnée:
Nos adversaires n’ont aucune preuve, ils ne peuvent pas en avoir. Inutile de dire, ils n’ont rien à nous montrer parce qu'ils ne peuvent pas seulement verser les pirates dans un tube à essai.
C’est fini. Arrêtez votre cirque.

NOTES
[1] Nous écrivions :
Un rapport Service de renseignement extérieur russe (SVR) circulant dans le Kremlin aujourd'hui 13/7, dit qu'un haut responsable du Parti Démocrate américain qui se préparait à témoigner contre Hillary Clinton a été assassiné dimanche dernier au cours d'une réunion secrète à Washington DC. Dans cette fausse réunion, il a cru qu'il rencontrait une équipe du FBI, mais c’était en réalité des « hommes de main » d’Hillary Clinton. Ces tueurs ont été capturés hier après une fusillade avec les forces du FBI à quelques blocs de la Maison blanche.
…Les analystes du SVR ont déterminé que la personne à l'origine de ces communications importantes (et qui a été liquidée) était Seth Rich, un responsable officiel au sein du  DNC, et  directeur de l’expansion des données électorales pour le DNC.

[2] Poutine : nous sommes prêts à publier l’enregistrement-audio de la rencontre Trump-Lavrov




Poutine vient de déclarer qu’il était prêt à diffuser l’enregistrement audio de la dernière rencontre Trump-Lavrov pour mettre fin aux rumeurs récentes.
Le ministère russe des Affaires étrangères a également déjà réagi aux rumeurs en expliquant que les médias américains ne faisaient que lancer une fois de plus des informations tapageuses.

VOIR AUSSI :

Hannibal GENSÉRIC