jeudi 20 juillet 2017

Le changement climatique pour cause humaine : "c'est le pire scandale scientifique de notre génération"



Un nouveau rapport préparé par le Service russe pour l'hydrométéorologie et de l'environnement (ROSGIDROMET) révèle que les experts russes sont depuis longtemps sceptiques quant au mème du changement climatique depuis la création du Projet de Pétition sur le réchauffement climatique (the Global Warming Petition Project) qui s'est produit à la fin des années 1990, ce qui a attiré les signatures de 31.487 scientifiques américains [2] qui déclarent qu'il n'y a absolument aucune preuve qui montre que les êtres humains chauffent notre atmosphère.
Deux des plus importants d'entre eux sont Edward Teller, «le père de la bombe à hydrogène», et le Dr. Reid A. Bryson, «universellement reconnu comme le père de la climatologie moderne», et qui en a témoigné devant le Sénat américain en 2007, avec d'autres sommités scientifiques du monde entier. Il  a rejeté le mème du changement climatique en déclarant: "Tout cet argument est la température en hausse ou pas, c'est absurde. Bien sûr, ça se passe. Depuis le début des années 1800, avant la révolution industrielle, parce que nous sortons du Petit âge glaciaire, et non pas parce que nous mettons plus de dioxyde de carbone dans l'air.
À la fin de 2009, les experts de ROSGIDROMET sont devenus encore plus sceptiques contre le mème du changement climatique après que le journal The Telegraph de Londres ait publié un article d'enquête exhaustif intitulé «Le changement climatique: c'est le pire scandale scientifique de notre génération» où il est exposé le scandale dans lequel les meilleurs climatologues du monde ont été engagés dans une fraude monumentale de proportions épiques avec leur affirmation selon laquelle l'activité humaine chauffait notre atmosphère planétaire.
Afin de mettre ce qui devrait être le «clou définitif dans le cercueil» de cette “fake news qu’est le mème du changement climatique, il y a encore un nouveau rapport scientifique explosif publié récemment aux États-Unis. (Rapport résumé ).
En effet, après avoir été examinées par des sommités scientifiques, des administrateurs, et des chercheurs de l'Environmental Protection Agency des États-Unis (EPA), du Massachusetts Institute of Technology (MIT) et de plusieurs universités de premier plan, il se révèle que les données utilisées jusqu’à aujourd’hui, pour appuyer le mème du changement climatique sont de la « pure foutaise », et elles constituent «la plus grande escroquerie économique jamais perpétrée dans le monde».
En effet, les plus grandes désertifications (Sahara, Gobi, Australie, etc.) se sont toutes produites à des époques durant lesquelles il n’y avait ni voitures, ni pétrole ni charbons, et, souvent, très peu d’êtres humains.
Le Sahara, avec ses 8 millions de kilomètres carrés, n'a pas toujours été ce plus grand désert chaud de la planète. Il y a 15.000 ans, il a connu une période verdoyante provoquée par une brève phase de réchauffement qui avait accentué les phénomènes d'évaporation au-dessus de l'océan et poussé les moussons jusqu'au cœur du continent nord-africain. Les paysages arides actuels étaient alors couverts de lacs, d'étangs et de végétation. Il y avait des éléphants, des hippopotames, des crocodiles, des hommes aussi, comme l'attestent les peintures rupestres. Les climatologues s'accordent sur le fait que cette période humide épisodique a pris fin il y a un peu moins de 6 000 ans.
De nos jours, l'Arabie est un désert féroce, mais il a déjà été végétalisé et a pu être le foyer des premiers humains qui ont quitté l'Afrique [Voir : Out of Arabia, ou l'histoire de l'humanité précoce]. En effet, dans un passé assez récent, l’Arabie était un lieu de prairies  et de bois ombragés, arrosé par les pluies torrentielles de la mousson. Des découvertes récentes pourraient aider à régler comment et quand les humains modernes ont quitté l'Afrique, où notre espèce a évolué. Si l'Arabie était autrefois luxuriante et fertile, il aurait été un endroit idéal pour migrer. "Il y avait plus de fenêtres d'opportunité pour les humains de quitter l'Afrique que prévu", déclare l'auteur principal, Ash Parton de l'Université d'Oxford au Royaume-Uni.
Les résultats de son équipe suggèrent que la mousson pousse plus loin en Arabie tous les 23.000 ans, ce qui permet aux plantes et aux animaux de s'épanouir. Les résultats sont publiés dans la revue Géologie. Lorsqu’on parle de cycles de 23000 ans, les statistiques actuelles du climat, qui se basent sur des dizaines d’années et qui sont utilisées pour démontrer l’impact humain sur le climat de la terre, paraissent ridicules.
Conclusion climato-réaliste
La peur irrationnelle qui nous est quotidiennement distillée est l’œuvre d’une bureaucratie climatique dont l’intérêt objectif est d’aller toujours plus loin dans l’outrance et les prophéties de malheur. L’absence de tout réchauffement statistiquement significatif à l’échelle de la planète depuis maintenant près de vingt ans, la hausse modérée et sans accélération du niveau de l’Océan depuis un siècle, la stabilité de la banquise à l’échelle globale ou encore la baisse de l’intensité cyclonique de ces dernières années ne sont que quelques exemples des observations de plus en plus nombreuses qui indiquent que l’approche de la question climatique ne saurait se réduire à des slogans culpabilisants. Le prétendu « consensus » sur la responsabilité humaine n’est qu’un leurre, nombreux sont les scientifiques parmi les plus éminents qui expriment leurs doutes sur la question. En ostracisant ces opinions dissidentes si essentielles à la bonne marche de la science, ce faux consensus imposé retarde notre compréhension du système climatique en même temps qu’il incite à des politiques irrationnelles et donc contre-productives.
Le temps est venu d’accepter que le climat a toujours changé et que l’humanité devra s’y adapter demain comme elle s’y est tant bien que mal adaptée hier. Une entente mondiale permettant à chacun d’être mieux protégé des aléas météorologiques est une belle ambition, dont la réalisation nous emplirait tous de fierté. Toutefois, cette ambition ne produira ses fruits que si elle ne grandit pas à l’ombre d’une peur arbitraire qui conduit à se tromper d’adversaire et à se focaliser sur les gaz à effet de serre, dont l’importance apparaît comme grandement exagérée. L’attention consacrée à l’avenir climatique est devenue une obsession démesurée qui risque fort de faire oublier les vrais enjeux collectifs de ce début de siècle.

Notes
[1] Un mème Internet est un élément, une idée sociale, ou un phénomène repris et décliné en masse par voie virale  sur Internet.
[2] Il y a aussi la liste mondiale  de scientifiques sceptiques sur le réchauffement climatique qui sont climato sceptiques, c'est-à-dire sceptiques sur la réalité d'un réchauffement climatique exceptionnel, son origine humaine ou sur le fait qu'il ait des conséquences négatives. Ils sont Prix Nobel, Ph.D., lauréats de nombreux prix, auteurs d'articles majeurs. Les idées de ces scientifiques sont détaillées sur leurs articles.
Cette liste, qui comprend plusieurs prix Nobel, est très incomplète, 31.000 scientifiques par exemple ayant signé l'Oregon Petition. Depuis le 1er septembre 2015, il existe également un Collectif des climato-réalistes.

Cette liste de scientifiques sceptiques sur le réchauffement climatique recense des scientifiques à travers le monde qui sont climatosceptiques, c'est-à-dire sceptiques sur la réalité d'un réchauffement climatique exceptionnel, son origine humaine ou sur le fait qu'il ait des conséquences négatives. Ils sont Prix Nobel, Ph.D., lauréats de nombreux prix, auteurs d'articles majeurs.
Les idées de ces scientifiques sont détaillées dans leurs articles.
Cette liste, qui comprend plusieurs prix Nobel, est très incomplète, 31.000 scientifiques par exemple ayant signé l'Oregon Petition. Depuis le 1er septembre 2015, il existe également un Collectif des climato-réalistes.
Hannibal GENSERIC